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TDAH, les troubles de l'attention chez l' enfant.


Les troubles de l’attention touchent un grand nombre d’enfants. Les spécialistes et la science savent décrivent parfaitement le désordre, mais ils sont incapables d’expliquer le comment du pourquoi. On peut observer 3 symptômes liés aux troubles de l'attention chez l'enfant : un déficit de l'attention, une hyperactivité du corps ainsi que de l'impulsivité. Le premier suggère une incapacité à maintenir son attention, à terminer une tâche, ainsi que des oublis fréquents. L'hyperactivité motrice relève de l'agitation incessante et de l'incapacité à rester en place. Quant à l'impulsivité, on observe une difficulté à attendre, une tendance à interrompre les activités des autres et un fort besoin d'attention.

Les troubles de l’attention touchent un grand nombre d’enfants. Les spécialistes et la science savent décrivent parfaitement le désordre, mais ils sont incapables d’expliquer le comment du pourquoi. On peut observer 3 symptômes liés aux troubles de l'attention chez l'enfant : un déficit de l'attention, une hyperactivité du corps ainsi que de l'impulsivité. Le premier suggère une incapacité à maintenir son attention, à terminer une tâche, ainsi que des oublis fréquents.


L'hyperactivité motrice relève de l'agitation incessante et de l'incapacité à rester en place. Quant à l'impulsivité, on observe une difficulté à attendre, une tendance à interrompre les activités des autres et un fort besoin d'attention.

À la vue de ces "symptômes" peut-on réellement parler de pathologie ?

Un enfant a besoin d'amour et de sécurité psychologique pour grandir sereinement pendant la grande période de construction de sa personnalité, entre 0 et 12 ans environ. Il a donc besoin d'être aimé, caressé, écouté, pris en considération. Mais aussi éduqué et accompagné dans la douceur et le respect, avec bienveillance. Son besoin de sécurité physique et psychologique sont indispensables pour l'intégrité de sa personne.


Il a besoin de découvrir la merveilleuse nature qui l'entoure, découvrir la façon dont les légumes poussent, apprendre à être autonome, apprendre à penser (et non pas quoi penser) etc… Sans cela, le petit être développera une insécurité profonde qui affectera son état émotionnel, modifiant ainsi sa relation à l'autre et aux choses.

Il y a l'environnement dans lequel il vit.

Plus de la moitié de la population mondiale est urbaine. C'est un facteur important à prendre en compte car la déshumanisation des métropoles engendrent un rapport à l'environnement et aux autres dénaturé. Il y règne une organisation sociale chaotique, violente, bruyante, polluée, artificielle et stressée. On accepte ces contraintes dans la violence du quotidien parce que l'on est concerné par son avancement et sa carrière n'est-ce pas ?


Il est bien souvent question de choix personnels, qui ne prennent pas en compte le bien-être et l'épanouissement de l'enfant. Et les enfants se doivent de suivre le mouvement, c'est-à-dire les injonctions à se conformer à un modèle de société devenu totalement anxiogène. Il n'y a qu'à regarder le nombre de burnout pour comprendre l'ampleur des dégâts. On fait tenir l'illusion durant quelques années avant que l'on ne décide de changer de vie.


Les plus chanceux réalisent qu’ils ont perdu quelques années, passant ainsi à côté de l’éducation des enfants, de la construction d’une vie familiale harmonieuse, le tout au péril de sa santé. L’ambition est telle qu’on fait abstraction de l’essentiel pour ne se consacrer qu’à son devenir et à leur petite carrière de chef de ceci plutôt que de cela.


Et puis une décennie plus tard c’est l’hécatombe. L’édifice est fissuré de partout, le bateau prend l’eau, et ce n’est qu'une question de temps avant que toute la structure ne s'effondre. On se traîne alors dans les simulacres. On a de plus en plus de mal à prétendre que tout va bien, et se lever le matin pour affronter la désillusion relève d'un parcours du combattant. On est à bout de souffle, vidé, usé, vieillit, mesquin. On a trop donné dans les contradictions. Il est grand temps de quitter les lieux et de se refaire une santé ailleurs que dans la métropole.


On privilégie alors le vert et la reconnexion à la nature, loin du bruit, de la pollution et de l'aberration de la métropole. On entame une reconversion à semer des carottes ou contribuer au développement d’une coopérative équitable de femmes au fin fond du Maroc. La quête de sens motivant la démarche. On a soudain le sentiment d’être passé à côté de la vie. Il y a de l’amertume et de la colère qu’il faudra panser pour retrouver un semblant d’équilibre émotionnel.

La santé et l’épanouissement ne sont pas du fait de l’adaptation professionnel. Vivre une existence épanouie, dans laquelle règne l’ordre et la vertu hors des conflits et des peurs ne peut se résumer au schéma traditionnel de réussite professionnelle. Il nous faut prendre du recul et avoir une vue globale de notre existence. Vivre sainement veut dire faire ce que l’on dit, sans se compromettre. Tout cela se fait bien sûr au détriment des enfants, de leur sécurité psychologique et de leur épanouissement.

Puis vient ensuite l'école de la république.

La question se pose : comment faire s'adapter un enfant à un nouveau monde de contraintes et de règles, hors du cocon familial, hors de l'amour parentale, dans une Jungle peuplée spécimens dont certains déjà bien déréglés par les conditionnements divers. L'enfant se sent alors abandonné, livré à lui-mème. Il commence à développer des troubles du comportement. Rien de plus normal. Il est laissé pour compte dans un système bien trop tôt, sans défense, dans la violence d'une autorité qu'il ne comprend pas, avec la bénédiction de parents.


On délègue alors son rôle fondamental au profit de nounou, d'assistance maternelle et d'un système obnubilé par la méthode. En attendant, les parents accumulent les séances de psy, les divorces, les gardes alternées et les pensions alimentaires. Le tout est souvent vécu comme autant de traumatismes par les enfants.


Pour dresser un tableau complet, il faut adresser ce mode de vie qui consiste à allumer la télévision le matin pour regarder la violence des dessins animés de Walt Disney made in US, puis confier un smartphone aux enfants pour qu'ils puissent se remplir d'images et d'ondes 5G afin de les anesthésier et d'avoir la paix. L'alimentation est aussi un sujet. Le manque de temps fait que l'on consomme souvent de l'industriel avec l'ingestion de toutes sortes de perturbateurs endocriniens, ce qui évidement n'arrange rien.


Quand on fait le bilan, on se demande soudain pourquoi notre enfant ne fonctionne déjà pas comme un parfait petit soldat adapté à ce monde brutal. Mais comment se fait-il qu'il a tant besoin d'attention ? Vraiment, vous voulez le savoir ? Et bien il manque d'amour, du vrai, pas le simulacre qu'on lui propose, qui n'est qu'une grand mascarade pour pouvoir être libre d'oeuvrer pour son avancement professionnel.


En général le couple bat de l'ail lui aussi de son côté, renforçant ainsi l'insécurité chez l'enfant. Il est souvent au centre de toutes les contradictions. C’est l’ambition, fruit de l’éducation et de la culture dans laquelle on vit qui conduit les individus à hypothéquer le présent pour un avenir improbable. Le quotidien du couple et la vie familiale en font immédiatement les frais. Et ce sont les enfants qui sont sacrifiés. ils savent bien ce qui se passe eux. Alors ils souffrent en silence, sous le poids des non-dits..


Ce qui engendre les TDAH, n'est autre que le résultat d'un manque de compréhension et d'attention quant aux besoins fondamentaux de l'enfant. C'est un constat généraliste et il y a bien entendu des exceptions. De plus, il n'est pas question ici de culpabiliser les parents mais plutôt de comprendre la cause des troubles, et de ne pas fuir le constat qui s'impose au travers de faux semblants neurologiques.


La science est incapable d'expliquer les phénomènes psychologiques aussi il est bien futile de chercher des réponses dans ce sens... Il est plutôt conseillé de faire appel au bon sens, et d’aller au-delà des certitudes et des convictions. Cela implique de s’approprier la réflexion et ne plus déléguer l’intelligence à d’autre. Après tout, c’est de notre vie dont il est question ! Cela nécessite aussi d'avoir un regard neuf sur les sujets. Faute de quoi nous passons à côté de l'opportunité de comprendre par nous-mème, et d'acter en conséquence.


Mais il est possible de renverser la vapeur. Il est encore temps. Cela passe par une prise de conscience chez les parents, et de réassurance chez l'enfant. Alors, toute la famille peut se remettre à vivre ensemble joyeusement.

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