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Pervers narcissique et sociopathe


Tout d'abord un peu sur la bonne utilisation des mots, des descriptions et de la sémantique psycho médicale. On a basculé dans une société du paraître, de l'image, des faux-semblants et de la superficialité. On en a oublié de penser par soi-même. Surtout ne pas faire confiance au bon sens. La sémantique n'y échappe pas. Ainsi, on donne de l'importance à la description pensant donner corps à une pathologie avérée. Elle est issue d’une caste médicale qui aimerait voir tout médicalisé. N'ayant qu'une approche partielle dans la guérison, elle peine à comprendre la globalité des dérèglements. Elle se contente d’observer la matière sans prendre en compte la plus importante partie de l’être : sa condition psychologique.

Tout d'abord un peu sur la bonne utilisation des mots, des descriptions et de la sémantique psycho médicale. On a basculé dans une société du paraître, de l'image, des faux-semblants et de la superficialité. On en a oublié de penser par soi-même. Surtout ne pas faire confiance au bon sens. La sémantique n'y échappe pas. Ainsi, on donne de l'importance à la description pensant donner corps à une pathologie avérée.


Elle est issue d’une caste médicale qui aimerait voir tout médicalisé. N'ayant qu'une approche partielle dans la guérison, elle peine à comprendre la globalité des dérèglements. Elle se contente d’observer la matière sans prendre en compte la plus importante partie de l’être : sa condition psychologique.


On se piège dans l'utilisation théâtralisée de termes et de mots qui ne reflètent en rien la nature des sujets. C'est par effet de mode, par conformisme et par effet de "style" que l'on se perd dans des terminologies souvent préemptées par les spécialistes de la complexification qui en font un business, les psys. Le reste du corps médical n'y échappe pas non plus.


On n’est plus intéressé par la santé de façon globale, mais par le business de la "maladie", qui s'est vu politisé depuis les trois dernières années… Votre santé ne vous appartient plus désormais, la politique aidée de la science s’est est emparée.


On accepte trop facilement les descriptions et les explications de spécialistes qui peinent à résoudre le mal-être de toutes celles et ceux qui les consultent, si ce n'est par l'usage excessif des médicaments. Cette démarche ne résout pas grand-chose. Elle limite un symptôme, tout en déréglant une autre partie du corps. Et oui, l’injection de molécule chimique n’est pas sans laisser de traces. Elle adapte tant bien que mal mais elle ne guérit pas. Et la souffrance perdure.


On voit donc fleurir une galaxie de mots techniques censée décrire des pseudo-pathologies, entretenant ainsi une société de malades adressée par des myopes. N'ayons pas peur des mots. Les pros de la "médecine traditionnelle" crieront "à l'hérésie !!!", tandis que les sceptiques de la seringue comprendront. Les premiers seront dans l'hyper réaction et la partisanerie, tandis que les autres questionneront et feront aboutir une réflexion sensée, raisonnable et rationnelle. Il n'est pas question ici de faire le procès d'une profession, mais d'aborder des sujets complexes simplement.


Toutes les nouvelles « pathologies » qui fleurissent sont bel et bien issues d'un même tronc commun, à savoir : l'ego. Pour mieux comprendre il suffit de prendre l'image d'un arbre avec ses branches et son tronc. Toutes les pathologies représentent les branches, mais le tronc est commun et lui représente l'ego. C'est en comprenant son fonctionnement que l'on peut trouver les causes et s'en libérer. Mais si vous n’adressez juste que la branche, elle repousse.


Il est relativement difficile de faire prendre conscience à un individu égocentré prenant un malin plaisir à faire souffrir, qu'il doit abandonner le centre depuis lequel il fonctionne pour trouver un équilibre émotionnel au quotidien. C'est un peu comme si vous disiez à un voleur qu'il doit cesser de voler, sachant que c'est en volant qu'il gagne son moyen de subsistance.


Pour se libérer d'une grande partie de tous nos maux psychologiques, ne faut-il pas plutôt abandonner l'image de malade qui permet l'évitement de la responsabilité, et accepter de voir l'état écocentre de notre activité quotidienne ? C'est dans l'acceptation et non la fuite que l'on trouve les réponses. Mais pour cela, il faut adresser le sujet de l'ego, pour soi, honnêtement. Faute de quoi on reste englué dans sa condition, entouré de spécialistes qui ne peuvent rien pour vous. D'un côté la libération, de l'autre l'isolement et la peur.

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