top of page
Rechercher

De la peur et du besoin de s'en libérer..


En observant le contenu de la pensée, on découvre alors toutes sortes d'accumulations, telles que les blessures, les peurs, les traumatismes etc.. Nous vivons avec la peur non seulement extérieurement mais aussi bien plus profondément, dans les recoins obscurs de notre esprit. Il y a une peur profonde, une peur du futur, une peur du passé et une peur du vrai présent. Mais si on observe réellement la nature de la peur, on doit regarder ce qu’elle est et voir quelles sont les causes qui contribuent à lui donner naissance La plupart d’entre nous ont peur du lendemain, de la mort, de notre mari, d'être seule, d'être licencié etc..

En observant le contenu de la pensée, on découvre alors toutes sortes d'accumulations, telles que les blessures, les peurs, les traumatismes etc.. Nous vivons avec la peur non seulement extérieurement mais aussi bien plus profondément, dans les recoins obscurs de notre esprit. Il y a une peur profonde, une peur du futur, une peur du passé et une peur du vrai présent. Mais si on observe réellement la nature de la peur, on doit regarder ce qu’elle est et voir quelles sont les causes qui contribuent à lui donner naissance La plupart d’entre nous ont peur du lendemain, de la mort, de notre mari, d'être seule, d'être licencié etc..

Il y a tant de choses dont nous avons peur. Ce qui nous intéresse cependant n'est pas une peur en particulier, mais le mécanisme psychologique de la peur qui est commun à toutes les peurs.

Prenons l'exemple d'un reptile pour mieux comprendre ce qui se passe. Si l'on voit un serpent sur notre chemin prêt à nous mordre, on s'en écarte naturellement. Puis ensuite la pensée s'en saisie et commence à avoir peur. Elle se dit que la mort était proche etc.. On observe donc que c'est la pensée qui a engendré la peur, après coup. Car dans l'instant on s'écarte du danger et puis c'est tout, sans faire intervenir la pensée. Ce n'est qu'ensuite que la pensée s'en saisie, et alors mème qu'il n'y a plus de danger, elle commence à avoir peur. Donc la peur n'est pas lié au danger mais au fait de penser au danger, et de donner de lui donner une continuité dans le temps.

La peur existe tant qu’existe le désir d’être ou de devenir, qui est une poursuite du succès avec toutes ses frustrations et ses contradictions tortueuses.

Dans l'attention portée à l'instant il ne peut y avoir de peur, seul l'individu tourné vers le passé a peur. Un esprit libéré du poids du passé peut ainsi découvrir la joie et vivre passionnément.

42 vues

Posts récents

Voir tout
bottom of page